jeudi 8 novembre 2012

Droit du travail - Restriction de l'ordre verbal - vexatoires


Le cas du procureur général Deman v [2006], impliqués instances vexatoires être portées devant le Tribunal d'appel du travail. L'intimé est né et éduqué en Inde, mais a eu la citoyenneté américaine. Il a été employé comme un économiste universitaire.

Entre 1996 et 2005, il a au moins 40 demandes devant le tribunal de l'emploi. La grande majorité étaient des plaintes pour discrimination raciale découlant du refus d'une institution académique à la liste courte ou de le nommer à un poste pour lequel il avait postulé. Dans la plupart des revendications, l'intimée a allégué la discrimination et la victimisation primaire. Les demandes de victimisation reflètent essentiellement le fait que l'intimé croyait que son histoire de contentieux était devenu largement connu et avait été retenu contre lui.

La plupart des procédures ont été vaines et beaucoup avaient eu des histoires longues et complexes en référé et avait donné lieu à des audiences très longues. Le comportement de l'intimé avait fait l'objet de nombreuses critiques par un certain nombre de tribunaux du travail. Les décisions des tribunaux ont fait l'objet d'au moins 40 appels auprès du Tribunal d'appel du travail.

Le procureur général (le demandeur dans ce cas) appliqué en vertu de l'article 33 de la Loi sur les tribunaux du travail 1996 pour une restriction de l'ordre des poursuites contre l'intimé, dans le but d'essayer de limiter le gaspillage du temps du tribunal. Il a été jugé que, sur les faits, l'intimé pouvait être déclaré avoir agi de manière vexatoire et de l'avoir fait habituellement et de façon persistante.

En ce qui concerne les allégations de discrimination primaires, en aucun cas ne l'intimé dispose d'aucune preuve très positif qui mérite de suggérer que la décision en question a été prise pour des motifs raciaux. Il n'y avait pas de preuve statistique en le soutenant de toute façon. En ce qui concerne la victimisation, une réclamation a été faite sans discernement dans pratiquement tous les cas, indépendamment des faits individuels ou de toute raison de supposer que les répondants à ces revendications ne savait rien de son histoire.

En faisant les applications en question pour les postes dans les établissements universitaires, l'intimé a été de moins en moins concernés par la réalisation de nomination et de plus en plus préoccupés par la poursuite d'une campagne pour démontrer ce qu'il croyait être la discrimination dans le monde de l'enseignement supérieur.

Il semble que la grande majorité des demandes présentées avaient peu de chance de succès. Dans les circonstances, la procédure a été considéré comme ayant été apporté vexatoires. Ces procédures incluses appels portés devant le Tribunal d'appel du travail.

Le résultat de l'affaire était que le pouvoir discrétionnaire des tribunaux a été exercé dans l'octroi d'une restriction de l'ordre des poursuites contre l'intimé. Il a en outre jugé qu'il n'y avait pas lieu de donner la restriction de l'ordre la procédure pour une durée déterminée, et continue ainsi indéfiniment.

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COOPERS RT 2007. Cette note d'information ne fournit pas un énoncé exhaustif ou complet de la loi relative aux questions abordées, ni ne constitue un avis juridique. Il est destiné uniquement à illustrer les questions générales. Conseils juridiques spécialisés devraient toujours être recherché en fonction de circonstances particulières.

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